Françoise ABRAHAM
cliquez ici pourvoir son oeuvre Françoise Abraham danse depuis l’âge de six ans, formée par les professeurs de l’Opéra de Paris, en danse classique. Elle découvre très rapidement la danse contemporaine : elle sera marquée à jamais par la symbiose de la vie en mouvement. La forme dans l’espace avec fantaisie, exubérance, légèreté, rondeur et humour. Voilà en quelques mots la personnalité de son œuvre. Elle conserve de cette période, la discipline du travail méthodique d’une formation classique complétée par un esprit débridé nécessaire à la danse contemporaine. Ces qualités se retrouvent dans son œuvre solide technique, acquise dans les ateliers d’artistes italiens
Françoise fait danser ses sculptures. Exigeante, rigoureuse, elle obtient des formes tendues, pleines de sensualité. Ses personnages féminins se propulsent dans l’espace avec vitesse et énergie Et curieusement, bien qu’elle se plaise à cultiver les rondeurs, ses sculptures font preuve d’une stupéfiante légèreté, avec en plus, un brin d’élégance, une once d’humour, en rupture d’équilibre, qui leur sied à merveille. Les patines des bronzes aux couleurs surprenantes, jouent avec la lumière pour offrir un éclat supplémentaire à ces pièces magnifiquement lisses.


Françoise Abraham sait préserver cette petite étincelle géniale qui donne à la vie un autre parfum. La résine en couleur, technique personnelle, mise au point par Françoise, permet de la fantaisie et laisse libre cours à son imaginaire débordant d’inventivité. Forte de ce nouveau champ de créativité, ses résines colorées, teintées dans la masse sont uniques sur le marché de l’Art, avec un décor toujours original et un zeste de folie.
Yong-Man KWON

voir ses oeuvres cliquez ici .Né en 1972 en Corée du Sud, Kwon Yong-Man fait partie de ces artistes – rares, il faut bien le dire – pour lesquels l’art est avant tout transmission, permettant d’unir la beauté et la pensée grâce aux émotions ressenties. Dans ses œuvres, rien n’est anecdotique, rien n’est laissé au hasard, tout y est essentiel. Il cherche à traduire la nature non en l’interprétant sans la copier, mais plutôt en dégageant de ce qu’il voit l’élément primordial qui le touche le plus.
Ainsi, tous ces paysages qu’il traque avec l’instinct du chasseur sont sublimés et transcrits sur la toile avec la volonté de faire entrer le spectateur dans un univers personnel et original. Ce qui est certain, c’est que Kwon Yong-Man n’hésite pas aller au-delà de l’image qu’il a entrevue sur le motif, mettant en
scène par une composition rigoureuse, un paysage urbain, une marine ou des personnages du quotidien. Avec une peinture très spontanée et d’une grande sincérité, Kwon Yong-Man sait s’adapter aux difficultés d’un sujet, joue avec les couleurs, les lignes,
les volumes et les valeurs organisant avec talent les différents éléments qui composent la toile, créant ainsi, un dynamisme qui anime
l’ensemble.

